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| | | Une histoire d'honneur [PV Adrian] |    |
| | Auteur | Message |
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|  Sujet: Une histoire d'honneur [PV Adrian] ![Une histoire d'honneur [PV Adrian] I_icon_minitime](https://2img.net/s/t/13/06/08/i_icon_minitime.gif) 27/8/2014, 22:15 | |
| Après sa conversation musclée avec Raechel, Adrian avait reçu la visite de Otto lui apportant du courrier, ce qui pouvait signifiait deux choses : la première qu’il s’ennuyait terriblement, l’autre qu’une crise venait d’éclater. La lettre qu’il reçu lui apporta la réponse : - Citation :
- Cher Adrian,
Cela fait bien longtemps que nous ne nous sommes pas vu, depuis ta nomination comme capitaine en réalité. Si tu venais prendre des vacances dans le sud ? Après les récents événements s’étant déroulés à la Cité tu aurais bien besoin d’un peu de repos non ?
Ton ami
Clyve Kanahan *C’est un code… Prendre des vacances veux dire qu’il y a un problème, Otto le sait aussi, c’est un code que seul ceux ayant était dans la quatrième division sous le commandement d’Achiles connaissent. Un problème au port qu’ils ne peuvent pas régler et qu’ils ne veulent pas rendre public…*Voilà comment il s’était retrouvé dans les hangars, face à une vision qu’il n’attendait pas : L’Exia était totalement réparé, et parfaitement harmonisé. Adrian se pétrifiât un moment il regarda dans les yeux de son Mobile Suit et vit son propre reflet, et peut-être autre chose… Mais il fut arraché à sa rêverie par un technicien qui le bouscula. Il alla préparer des affaires pour son voyage et monta dans son cockpit laissant simplement pour ordre de prévenir l’empereur qu’il parait en congé. |
|  | | | | Sujet: Re: Une histoire d'honneur [PV Adrian] 30/8/2014, 21:20 | |
| - Après une journée de vol, journée pendant laquelle Adrian s’était amusé à découvrir, enfin à redécouvrir son Mobile Suit. Une telle mobilité, une telle puissance… Il le sentait comme un prolongement de lui-même. Avec ce Mobile Suit, oui il pourrait atteindre sont but… Mais pas le temps de rêver que le port offrait déjà ses côtes de sable blanc et sa mer azure à la vue du citadin ! C’est avec de grands yeux émerveillés qu’il exprima sa joie de revoir la mer après tant d’année. En effet si pour nous se rendre à la mer n’a rien de fantastique, pour les hommes de cette époque les voyages d’agréments sont rares, voir inexistants, et bien qu’Adrian se souvienne parfaitement qu’il n’était pas là pour son plaisir, comme ne pas admirer la beauté du bleu des abîmes méditerranéenne.
Initialement, il n’y avait pas de « ville » autour du port militaire. Une base avait été construire dans les ruines de ce qui semblait être une ancienne ville, mais les soldats rénovèrent diverses bâtisses pendant leur temps libre, leur famille vint s’y installer, tout comme des pêcheurs désireux de s’aventurer sur le grand bleu. Finalement le port impérial ressemble plus à un petit village portuaire du sud de la France ou de l’Italie, avec une base militaire en plus. Base militaire qu’Adrian fini par rejoindre. Il déclina son identité et respecta les procédures de sécurité avant de se poser dans les hangars et de descendre de son Mobile Suit. Avant de quitter son cockpit il entra quand même les codes de verrouillage de son unité.
Un soldat vint l’accueillir et le salua de façon tellement respectueuse que ça en devint comique, pensait-il parler à l’empereur, ou à Dieu ? Adrian le salua à son tour et après une brève discussion demanda à être conduit jusqu’au bureau du commandant Kanahan.
Une fois face à la porte, Adrian toqua et après y avoir été invité il entra : son ami n’avait pas vraiment changé : les cheveux châtain tirant sur le roux, le visage souriant, Clyve s‘approcha et prit Adrian par les épaules.
« Alors, le bureau t’en dis quoi ?
-La grande classe, je devrais me plaindre le mien est plus petit !
-Il doit faire la même taille, mais avec ta grosse tête dure d’y trouver de la place…
-Ah et c’est surement pour faire paraître la tienne encore plus petite qu’ils t’ont donné tant d’espace ! »
Tous deux rirent de bon cœur.
« Ca fait longtemps, comment te portes tu ?
-Toujours le travail, comme toi en somme, même si j’ai la chance d’éviter le front. Et toi alors, général ?
-Boah… Ce n’est qu’un titre pour faire beau, mon travail n’a pas changé : rattraper les bourdes des uns et des autres.
-Habitude que tu as depuis notre jeunesse dans la quatrième.
-Et rattraper les tiennes était d’un fastidieux. »
Ils commencèrent à évoquer le passé, un passé plus simple, un passé ou ils n’avaient guère qu’a survivre pour être heureux. Un temps où ils n’avaient guère les responsabilités qui sont les leurs aujourd’hui… l’adolescence de deux hommes ayant chacun le devoir d’agir non plus seulement pour eux, mais pour tout un peuple. La conversation continua pendant plus d’une heure avant que Clyve n’aborde le sujet de sa lettre.
« Ici nous pouvons parler sans crainte, j’inspecte le bureau moi-même tous les jours. Je sais que tu es partis vers le nord pour éliminer les sénateurs renégats, seulement, une partie avait fuit vers ici… Il était incognito, mais l’un d’eux fût aperçu dans une des auberges qui borde le port de pêche, tu sais on y reconnaît rapidement un gars qui n’a rien à faire là, elles sont généralement fréquentées par les intermédiaires ou les transporteurs de la Cité. Ce sont des gens plutôt modeste, alors un sénateur n’y passe pas inaperçu. J’ai préféré ne prévenir que toi parce que je pense qu’ils doivent encore avoir des partisans en ville et qu’un message direct pour l’état major aurait été intercepté.
-Oui tu as bien fait…
-J’ai fais passé ton passage parmi nous comme une inspection des côtes au vu des derniers événements. Je pense que tu as environ deux jours avant qu’ils ne trouvent ta présence louche.
-Tu sais où je peux les trouver ?
-A ta place je commencerais par l’auberge où ils ont été vu la première fois. »
Deux heures plus tard, alors que l’horloge de la ville affichait 15 heures, un homme blond, des lunettes de soleil et une tenue des plus banales déambulait dans les rues du port.
C’était un marchant venu de la Cité pour faire l’acquisition de quelques produits de première fraicheur. Il s’arrêtait quelque fois pour demander où il pouvait trouver tel ou tel pécheur, ou du moins leur maison… Il se posa par ci, par là pour admirer le paysage, joua au ballon avec une bande de jeune doutant carrément qu’un homme de la Cité puisse tenir la distance. Il s’approcha finalement de ce qui semblait être une auberge sur les coups de 20 heures.
Quant on vous parle d’auberge, vous imaginez immédiatement l’espèce de cabane en rondins de bois que l’on trouve dans les récits d’héroic-fantasy… vision un peu biaisée de la réalité : celle-ci avait en plus de bois, qui pourri facilement en bord de mer, un structure en pierre et une forme plutôt moderne, la couleur beige, orangé correspondait bien au paysage. Ce n’était pas grand, mais ça semblait confortable. Le marchant y entra, d’abord un hall conduisant droit à un comptoir ou se trouvait une fille qui devait avoir dans les quatorze ans, les cheveux frisotés et marrons tout comme ses yeux, elle avait un visage assez juvénile, mais deviendrait très belle en grandissant. Elle semblait occupé avec un chat, mais l’arrivée d’un inconnu la sortie de son ennui :
« Bienvenue ! Que puis-je pour vous cher client ?
-Je voudrais une chambre pour deux nuits si possibles.
-Bien sur ! Vous avez de la chance il nous en reste une ! A quel nom dois-je vous inscrire ?
-Edouar Mass. »
Il fini de s’enregistrer, donna son barda à l’hôtesse qui lui conseilla d’aller prendre un verre ou manger un morceau au restaurant de l’auberge. Il la salua et s’y rendit. Après tout il commençait à avoir assez faim. Il entra et mis à part quelques pêcheurs, deux ou trois soldats et un ou deux hommes semblant n’appartenir à aucune de ces catégories il n’y avait personne. Il se dirigea vers le bar ou une superbe barmaid l’y attendait : Elle était environ du même âge que lui, avait elle aussi les cheveux et les yeux marrons, mais assez lisses. Des courbes magnifiques, un visage d’ange, une bien jolie femme…
« Bonsoir, que puis-je vous servir ?
-Bonsoir. Que boit-on par ici ?
-Hum… »
Fit-elle en se mordant la lèvre. Essayait-elle de jouer de son charme avec lui ?
« Nous avons d’excellent vins qui nous vienne de l’arrière pays.
-Je ne doute pas qu’il soit excellent, pourquoi n’en partageriez vous pas une bouteille avec moi plus tard ? Mais d’abord, quelque chose de plus typique. »
Ah ? Il l’avait percé à jour, elle lui fit un sourire en y ajoutant un regard concupiscant et alla lui préparer sa commande. Toujours derrière ses lunettes de soleil, le marchant laissa trainer son regard dans la salle. Elle était assez vide pour une auberge complète…
« Voilà votre verre monsieur.
-Merci. Dites-moi… Je pensais que l’auberge était complète… La demoiselle de l’entrée m’a dit qu’il ne restait qu’une chambre, la mienne.
-En effet, mais plusieurs de nos clients préfèrent le confort de leurs chambres, pourquoi cette question ?
-Non pour rien ! Je me disais justement que vos chambres devaient être particulièrement confortables pour que vos clients désertent ainsi la présence d’une jolie femme.
-Monsieur est un flatteur, vous venez de la ville ? »
Il commença à lui raconter son histoire sous le regard un peu exaspéré des deux inconnus du fond de la salle. Qui était ce fichu étranger qui accaparait ainsi leur déesse ? Après une vingtaine de minutes, les deux hommes dont l’ébriété n’aidait pas se levèrent d’un bon pour apprendre à ce blondinet à rester à sa place.
« … Et c’est alors qu’il est tombé sur la glace…
-Hey toi là ! »
L’un deux attrapa Edouard par le col et le fit tourner sur son siège, l’autre allait lui en coller une, mais il se reçu le contenu d’un verre en plein dans le visage.
« Les bagarres sont interdites ici ! Cela vous pose un problème ?
-Sale… »
Peut-être allait-il l’insulter, qu’il se reçu le contenu d’un second verre. Edouar avait saisi le sien et imiter la jeune femme.
« Oh excusez moi, ça avait l’air drôle ! »
Il se leva et écrasa littéralement le pied de celui lui tenant le col, il s’excusa à nouveau, et en se baissant pour regarder l’étendu des dégâts il lui donna un coup de tête qui assomma le pauvre homme au pied amoché. L’autre voulu frapper le marchand de son poing droit, mais il esquiva en se retournant pour prendre une serviette. Il se retourna à nouveau et donna un grand coup de coude dans la tempe de son opposant qui avait été emporté par la force de son coup.
« Ah... euh… désolé… »
Pour se faire pardonner du remue ménage qu’il avait causé, il proposa d’aider la demoiselle à transporter les deux hommes jusqu’à leur chambre. Il en prit un sur le dos et laissa l’autre ou il était pensant revenir le chercher après. Ils montèrent l’escalier et elle toqua à une porte. On lui demanda de décliner son identité ce qu’elle fit et on lui ouvrit. L’homme à la large carrure fut surprit de voir son camarade dans les vapes sur le dos d’un autre. Ils lui expliquèrent la situation, en modifiant un peu la réalité, et ils proposèrent d’entrer pour le déposer à l’intérieur. Ce que l’homme refusa net. Il demanda de l’aide à un autre dans la chambre et à deux ils le rentrèrent disant qu’ils allaient redescendre récupérer le second.
Il était 23 heures, les deux hommes n’étaient plus sur le sol du restaurant, les militaire étaient retournés à la base et les pêcheurs dans leur chambre… il ne restait plus que la barmaid et le marchand.
« Pfiou ! Il était un peu lourd…
-Et vous n’imaginez pas comme les clients de ces chambres le sont aussi… »
Ils rirent tous deux de bon cœur, alors le blond proposa de déboucher cette fameuse bouteille de vin. Même si la barmaid lui précisa qu’elle était plutôt chère, il ne voulu rien savoir, paya et invita la demoiselle à se joindre à lui.
Elle s’appelait Tamara, elle gérait cette hôtel avec ses deux sœurs, l’une plus jeune et l’une plus vieille, actuellement à la Cité pour affaire, Elle avait prit la suite de leur parents à la mort de ces derniers et vivaient confortablement grâce à ça… Les clients qui occupaient l’hôtel ? Des pêcheurs, des marchant et parfois des politiciens voulant de l’intimité, comme ceux occupant la plupart des chambre de l’hôtel en ce moment. Vers minuit, elle raccompagna le marchand à sa chambre et une fois dans l’intimité de celle-ci lui, demanda qui il était vraiment… Adrian retira sa perruque et expliqua la fausse raison de sa visite, qu’il était là en tournée d’inspection et etc… Le vin et la nuit, l’homme mystérieux et la belle jeune femme…
Au petit matin, tout petit car il était sur les coups de 6 heures, Adrian se leva et trouva à la place de la demoiselle qu’il avait laissé là hier un mot et une clé.
« Pense à me rendre mon passe et à faire le ménage. »
Visiblement il s’agissait d’une clé qui ouvrait toutes les pottes de l’auberge… Adrian se prépara en conséquence.
Dans la suite où avaient été transportés les deux hommes la veille, un petit groupe, vaquait à ses occupations : deux dormaient sur le sol, deux sur les lits, et deux montaient la garde, un à la fenêtre et l’autre contre le mur de la chambre voisine. Quand soudain la porte du couloir s’ouvrit et deux couteau foncèrent l’un allant se planter dans la gorge de celui se trouvant à la fenêtre qui dégringola et l’autre dans l’œil de celui se trouvant près du mur. Les deux endormis sur le lit se réveillèrent comprenant à peine ce qu’il se passait. Deux lancés et un des deux retomba sur le lit, mais cette fois pour ne pas se relever. Adrian bondit sur le dernier conscient et lui planta un couteau dans la jugulaire. Il remarqua les deux d’hier mais n’y prêta pas attention outre mesure, hier il les avait suffisamment violentés pour qu’ils soient dans le cosmos pour encore deux ou trois heures. Il se retourna quand il vit deux silhouettes apparaître dans l’encadrement de la porte. Ils firent feu de leurs pistolets, mais Adrian bondit sur le côté pour éviter les tirs et se jeta par la fenêtre. Les deux hommes le suivirent, mais une fois dans l’encadrement, l’un d’eux se prit une balle en plein front avant que le second ne subisse le même sort. Il est vrai qu’Adrian n’aimait pas les armes à feu, il savait pour autant reconnaître leur utilité. Accroché à un filin, il utilisa son élan pour se jeter dans la chambre d’à coté, il devrait une fenêtre à Tamara.
Dans la chambre, pas âme qui vive… Il se précipita alors vers le couloir et eut le temps de voir au détour de l’escalier le visage d’un des sénateurs. Il leur emboita le pas, esquivant les balles et combattant divers sbires… Il pensait arriver en bas trop tard mais entendit soudain un cri… Il accouru aussi vite que possible, Clyve et son Fusil à canon scié venait de dézinguer les deux derniers garde du corps, et d’acculer le sénateur contre un mur.
« T’es en retard !
-Je ne suis jamais en retard, je soigne juste mes entrées… »
Adrian dégaina un de ses couteaux et le lança dans le genou du sénateur.
« Pas le temps de jouer au gentil et au méchant : T’es pas seul on le sait, où sont les autres ? Répondre est ta seule chance de survie.
-Aie ! Arrête ! Je vous dirai tout ! Aie aie aie ! »
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| | | | | | Sujet: Re: Une histoire d'honneur [PV Adrian] 31/8/2014, 21:35 | |
| Adrian était dans son cockpit, volant vers une nouvelle destination… Il repensait à l’interrogatoire du sénateur :
- Citation :
- « Arrêtez, je vous direz tout ! Je n’ai fait que suivre les autres : Ils m’avaient promis le pouvoir ! Ils disaient que nous pourrions avoir des richesses supérieures à celle du prince ! Faut-il être stupide pour refuser ! Aie aie aie ! Non ! Ecoutez ! Ouis nous nous sommes séparés en plusieurs groupes ! Un est parti au nord, l’autre, le mien, au sud et enfin un dernier s’est réfugier dans les montagnes ! Ils veulent revenir à la Cité avec leurs unités et attaquer par surprise ! Mon groupe ? Une partie à rejoins ceux des montagnes, les autre se sont mis en chemin hier pour rejoindre ceux du nord… AIE ! Oui je vous donnerez les coordonnées ! Mais ne me tuez pas s’il vous plait ! »
Le voyage jusqu’à ce groupe ayant trouvé refuge dans les montagnes ne sera pas long… Il pensa à la suite de sa journée d’hier…
- Citation :
- « Tu comptes t’en occuper tout seul ?
-Oui, je serais plus discret.
-Mais s’ils prévoient une attaque tu risques de te retrouver face à une dizaine de mobile suit, même pour toi c’est beaucoup !
-Je sais, mais le temps nous manque. »
Il est vrai qu’il aurait pu rentrer demander des renforts, mais quand allaient-ils attaquer ? Faute d’autre renseignement, le meilleur choix était de s’y rendre et de recueillir le maximum d’informations. Un dernier souvenir d’hier lui revint :
- Citation :
- « Désolé pour se désordre, j’espère que ta sœur n’a rien vue…
-Elle était au cuisine, je l’y avais enfermé, ne t’en fais pas pour elle !
-Pour les dégâts…
-Pas de problème je te dis ! Tu ne fais que ton travail !
-J’ai déjà ordonné que l’on vienne faire les réparations, une équipe arrivera dans l’heure.
-Ce n’était pas la peine…
-Tu as été très bonne avec moi, et tu as rendu un grand service à la Cité. C’est la moindre des choses.
-Tu reviendras nous voir ?
-Je reviendrais boire avec toi ! »
*Promesse que je ne pourrais peut-être pas tenir… *
« Tu en pense quoi Exia ? »
Que pouvait lui répondre son Mobile Suit ? Il ne savait pas vraiment ce qu’était le monde de nos jours, peut-être avait-il connu la guerre lui aussi, peut-être avait-il perdu son pilote dans de tristes circonstances ? Après tout, Adrian avait trouvé l’Exia dans un triste état, Le temps avait fait son office, mais de là à lui prendre un bras et lui infliger pareils dégâts… Non, pareils blessures sont les stigmates d’un combat, un combat d’une violence extrême… Comme le combat qui l’avait opposé à cet autre « Exia » de la Capitale… Un Mobile Suit ténébreux… De plus il ne fonctionnait pas avec un GN Drive, alors comment ?
Mais il aurait le temps plus tard de penser à la Capitale : Actuellement, il survolait un des nombreux villages de montagne (village était-il le mot le plus adéquat ? ) où se regroupait les cultivateurs envoyant du blé et autres productions agraires pour la Cité. Les coordonnées du point de rendez-vous des renégats n’étaient guère loin, aussi Adrian décida d’y faire une halte, histoire de grappiller quelques informations… Il atterri et enfila son déguisement d’Edouard Mass. Le village en lui-même devait avoir eut une histoire antérieur à l’histoire sombre : il y avait un château fort en ruine, et divers reste d’habitations inoccupées. Adrian/Edouard remarqua les constructions nouvelles, les silos, et autres hangars ressemblant à ceux ce trouvant en ville. Il vit que plusieurs personnes arrivaient vers l’Exia. Il ouvrit son cockpit et en descendit tranquillement.
« Bonjour… Quel accueil ! Je suis Edou.. »
Mais bon à quoi servent les paroles quand un homme vous pointe son fusil sur le front : deux solutions pour Adrian… mais là ça allait être compliqué…
« Ta gueule ! T’es avec ces enfoirés ?
-Euh… Je viens de la…
-Réponds simplement ! Oui ou non ?!
-Mais de qui vous parlez ?!
-Rufus, il n’a vraiment pas l’air de savoir… De plus ils vont débarquer avec leurs Mobile Suits à cause de son arrivée ! »
Justement des bruits se firent entendre venant de l’ouest… Des Mobile Suits. Adrian jeta sa perruque et dit simplement :
« Je suis juste le gars qui vient pour vous débarrasser de ces types. »
Il remonta aussi rapidement que possible dans l’Exia et s’éleva dans les airs…
« C’est notre premier combat depuis ta renaissance alors : faisons ça bien… »
Un Gunner Zaku Warrior et un Jegan… Les yeux de l’Exia s’illuminèrent d’un éclatant vert émeraude :
« Adrian Marvelous, Exia Mark II… Elimination des cibles ! »
Les tirs commencèrent à fondre sur lui, il prit de l’altitude, hors de question de risquer de blesser les villageois en se protégeant de son bouclier. Sa GN Blade en mode pistolet, il tira une salve que les deux unités esquivèrent en se séparant. Mais l’Exia avait prévue cette possibilité : il était déjà entrain de fondre sur le Zaku.
Le Zaku tenta de se défendre en armant son imposant canon, mais c’était sans compter sur la mobilité et la vitesse d’Adrian et de son mobile suit, véritable extension de son corps qui réagissait au quart de tour : Il avait placé sa GN Blade en position épée et tranchant le canon dans sa largeur avant de lancer un puissant coup de bouclier dans le MS pour le repousser, le canon explosa emportant le bras du Zaku et son pack dorsal. Le Jegan tira avec son pistolet laser, mais l’Exia se protégea avant de lui lancer une des dagues dissimulée dans son bouclier. En plein dans le torse, un poil au dessus du cockpit. Le MS n’explosa pas mais chuta lourdement 60 mètre plus bas.
Adrian fonça vers un terrain boisé en contre bas qu’il avait repéré et activa son camouflage GN. Le combat avait était assez facilement expédié… Trop facilement… Adrian relâcha enfin un peu sa concentration… quelle sensation grisante : Il n’avait jamais rien ressentit de pareil. Cet Exia était vraiment formidable… Mais pas le temps de s’extasier ! Il sortit de son cockpit… Le village ne devait être qu’à une dizaine de minutes à pied…
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| | | | | | Sujet: Re: Une histoire d'honneur [PV Adrian] 6/9/2014, 00:02 | |
| Une puissance ravageuse, un froid sans nom, et une douleur palpitante : voilà ce que ressentait Adrian pour l’instant. Comment c’était-il retrouvé à se noyer dans une rivière ? Il n’en savait rien, il n’arrivait pas à réfléchir, il avait la tête embrumée par le froid mordant des flots… Pourtant, dans un élan de lucidité il se rendit compte que le froid, il l’avait ressentit sur tout son corps, certes, mais que actuellement, son torse commençait à se réchauffer… D’ailleurs, malgré la noyade, il ne se sentait pas partir…
Il ouvrit finalement les yeux, qu’il avait fort lourds : il était assis dans une pièce faiblement éclairé, les cheveux collés au visage par une eau glaciale et les vêtements mouillés, mais en court de séchage, ils devaient avoir été mouillés il y a un moment. Il sentait qu’il avait dû prendre un coup au niveau de l’arrière de la tête… Mais quand ? La pièce était quasiment vide, des bouteilles de vin et un rangement à fromage. Il était donc seul sur une chaise en bois, face à une porte elle aussi en bois et dans ce qui semblait être une cave…
*Oula… j’ai encore bu du truc rose de la soirée chez L-Elf ou quoi ?*
Il essaya de se souvenir… Et un début lui revint en tête : Il marchait sur un genre de sentier de campagne pour retourner au village et en apprendre plus, quand il tomba sur un groupe d’enfant tirant une charrette. Il s’approcha, mais en le voyant venir vers eux ils prirent peur. Adrian essaya de les rattraper pour s’expliquer… Mais ils s’étaient faufilés dans les buissons … Et puis pendant qu’il les cherchait du regard, il sentit un truc se fracasser sur sa tête avant de perdre conscience. Il ne l’avait reprise que lorsqu’on lui jeta un impitoyable seau d’eau glacé. Il vit un grand homme, qu’il avait déjà vu avant… Un de ceux du champ ? Il entendit juste :
« Celui-là va falloir le secouer un peu… »
Mais revenons-en au présent… Adrian continuait de chercher des réponses dans son environnement : il essaya de distinguer le sol : visiblement c’était de terre… Mais il faisait trop sombre pour en être certain. Il arriva tout de même a distingué une petit flaque d’eau… Un reste du seau ? Non… Adrian se souvenait de ce que le vieux avait voulu dire par « secouer »… Ils avaient apporté un tonneau d’eau glacé dans lequel il avait plongé plusieurs fois la tête d’Adrian… En l’assommant de question qu’il ‘entendait pas à cause du froid qui lui accaparait tout son attention.
*Ouais super l’accueil... J’ai faim en plus…. *
Puis il entendit des bruits de pas, il referma les yeux et entendit la porte s’ouvrir. Mais rien de plus, un petit pas léger s’approchant de lui. Il ouvrit un œil et vit une fillette, la dizaine maximum, les cheveux marron, le visage rond. Elle le regardait avec attention. Alors :
« Bonjour.
-AH !!! »
Elle eut un petit pas de recule, mais cacha sa bouche avec sa main pour ne pas faire trop de bruit.
« Bon… Bonjour…
-Je m’appelle Adrian, et toi ?
-… Pau… Pauline.
-Enchanté mademoiselle Pauline. Tu peux me dire où je suis ?
-Dans la cave de la maison de mémé.
-Oh, je vois. Tu es venue me voir sans autorisation n’est-ce pas ?
Elle acquiesça de la tête.
-Je vois. Boah ce n’est pas bien grave. Je suppose qu’on t’a dis que j’étais un méchant où un truc du genre… Mais en fait pas vraiment, je suis surtout… perdu…
-Perdu ? Tu ne sais pas où c’est chez toi ?
-Si, mais je ne sais pas vraiment où je suis…
-Dans la maison de mémé !
-Ahaha… Oui, c’est vrai.
-PAULINE ! »
Adrian releva la tête et vit le vieil homme qu’il connaissait accompagné de deux homme du même age environ et d’un jeune, enfin de l’âge d’Adrian quoi ! Ils descendirent tous trois rapidement et le plus jeune prit la petite dans ses bras.
-Qu’essayais tu de faire à notre petit Pauline, hein ?
-Rien de particulier… je lui demandais juste poliment où nous nous trouvions.
-Tu viens dans un endroit que tu ne connais pas juste pour le plaisir d’enmerder les gens qui y habitent ?
-Non, j’étais juste à la poursuite d’un groupe de traitre à la Cité… Ni plus ni moins ;
-Pfeuh, nous on s’en fiche de toi et de tes devoirs. Tu n’es pas sur le territoire de la Cité ici.
-Ah bon ?
-Non… Suite à un accord convenu avec le Prince Kuchiki, nous avons notre autonomie en échange de quoi nous cédons une partie de nos récoltes à la Cité gratuitement.
-Comme la plupart des « village » comme le votre.
-Mais visiblement nous avons quelque chose en plus.
-Et c’est cette chose que veulent les sénateurs ?
- ils l’ont déjà prise. Ils étaient armés, nombreux et nus ne somme spas des soldats… Il nous l’on prise en échange de notre paix.
-Et quelle est cette chose ?
-… Tu ne sembles vraiment pas au courant… Qui es-tu ?
-… Je m’appelle Adrian. Adrian Marvelous, je suis l’ancien capitaine de la division zéro et actuel général de l’empire.
L’homme eut un mouvement de recule. Tous le regardèrent, il venait de voir un fantôme :
-… Adrian… Tu viens des quartiers Est ? Tu es le petit fils d’Elsa ?! » |
| | | | | | Sujet: Re: Une histoire d'honneur [PV Adrian] 6/9/2014, 22:11 | |
| Mamie et moi avons toujours vécu ensemble je crois… Je n’ai pas de souvenir de mes parents remontant à mon enfant, par contre j’en ai de ma grand-mère… Je sais que nous vivions dans les quartiers est et que cela ne la dérangeait pas. Elle arrivait à subvenir a nos besoin je ne sais trop comment… En fait je n’ai jamais vraiment voulu savoir, j’étais trop jeune. Je crois lui avoir posé la question une fois, il me semble qu’elle m’a répondu : chacun a le devoir de faire de son mieux pour les siens, je ne fais que faire de mon mieux.
Elle cuisinait bien, n’étais pas trop exigeante avec moi, Bien que je sache lire elle m’a toujours demandé de faire comme si cela m’était difficile… Peut-être pour ne pas attirer l’attention sur nous… Ce cachait-elle ?
Me cachait-elle ?
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| | | | | | Sujet: Re: Une histoire d'honneur [PV Adrian] 7/9/2014, 14:12 | |
| Elsa et moi avons fait notre scolarité ensemble… J’étais un citoyen de la nation et elle la fille d’un sénateur… L’un comme l’autre nous étions passionné par les découvertes, ou plutôt les redécouvertes scientifique. Nous nous sommes plu tout de suite et nous nous sommes marié jeune. Un jour on fit la découverte du premier Mobile Suit utilisant la technologie des GN Drive… Aussi on nous confia à nous et à notre équipe la charge de l’étudier. Après plusieurs décennie, la naissance de notre fille, l’obtention de son diplôme et sa nomination comme nous chercheur de notre équipe nous fumes capable de tester le prototype d’un GN Drive préparé pour alimenter la Cité toute entière… Au lieu de mobiliser plusieurs GN Drive, un seul suffirait. Ce serait fantastique ! A l’époque, Eléonore était enceinte, bientôt à terme, de son première enfant et se devait être nos derniers travaux à Elsa et moi-même… Mais, il y eut un accident…
Le GN Drive a explosé… Toute l’équipe fut grièvement blessée… Nous dûmes accoucher notre petit fils du cadavre de sa mère, tué sur le coup par la diffusion condensé de particules GN… Elsa y perdit un œil et moi… Mon bras droit…
Nos tests se déroulaient dans une commune loin de la Cité, aussi l’affaire fut vite étouffée… et les scientifiques survivant furent parqué ici, pour continuer les recherches… Elsa parvint à s’enfuir avec notre petit fils et à rejoindre la Cité ou vivait le père de l’enfant… le père d’Adrian…. |
| | | | | | Sujet: Re: Une histoire d'honneur [PV Adrian] 11/9/2014, 00:14 | |
| Le soleil se levait sur les vertes montagnes de ce qui fut autrefois le massif des Alpes. Après plusieurs heures de discussions, Adrian avait pu profiter d’un repas, d’une douche bien chaude et d’une bonne nuit de sommeil dans un lit. Il se trouvait maintenant sur ce qui semblait être une sorte de balcon, réfléchissant a son passé, à ce qu’il allait faire, à comment le réaliser…
« Déjà debout ? Tu es un lève-tôt... »
Il se retourna et vit l’homme qui était censé être son grand père. Il lui adressa un sourire et lui dit :
« C’est l’habitude, je n’ai pas fait de grasses matinées depuis bien des années… Quand on est l’ombre de l’empereur on est obligé d’avoir ce genre de vie : dernier couché, premier debout.
-Pourquoi es-tu venu toi-même éliminer ces traitres ? Tu aimes tant semer la mort ?
-Non, je déteste ça, mais je préfère me salir les mains que salir celles de mes subordonnés, tous condamnés à mourir au front contre la Capitale ou contre je ne sais quel bête féroce…
-Tu vas bientôt partir ?
-Oui.
-Tu ne reviendras pas, je suppose ?
-Non, en effet…
Les rayons du soleil s’intensifiaient au fil de l’avancement des minutes… Qui se rendait compte du défilement du temps finalement ? On vit, on meurt… Et alors ? Pessimiste ? Non, le temps est ainsi fait : aussi seuls comptent deux choses : comment on a vécu et comment on a choisi de mourir. Adrian avait fait son choix il y a bien des années : il voulait mourir en homme libre et tâcherait de vivre sa vie de la même façon. Il obéissait aux ordres, certes, mais de son plein gré. Il avait fait le choix de suivre Byakuya, il avait fait le choix de devenir un homme se sacrifiant pour éviter d’alourdir le poids des âmes de ses subordonnées… Et ce choix avait été confirmé par la rencontres de gens atypiques : Niimi, Shu, Patrick, Houki, Tatsuya, Christina, Ræchel… Des gens ayant un passé sombre, ou un présent complexe… Des jeunes, des moins jeunes… des belliqueux, des pacifistes…
Aujourd’hui sa mission était de détruire une menace pour son foyer, la Cité. Faut-il que ces hommes soient fous pour vouloir ajouter de la haine à la haine peuplant notre monde actuellement… Malgré le temps qui passe, les hommes ne changent pas.
« Le monde peut changer… »
Adrian était dans le cockpit de l’Exia, les yeux fermés, il entendit ces mots résonner dans sa tête, mais ne savait qui les avait prononcés… Etait-ce son imagination était-ce…
« Exia ? »
Il activa son GN Drive et repensa à ce que son grand père lui avait dit en le raccompagnant jusqu’à son mobile suit, il n’avait pas pipé mot du trajet se perdit dans la contemplation du géant bleu et blanc…
- Citation :
- « Tu sais… ton nom de famille… Il vient d’une ancienne langue… Et il veut dire « merveilleux »… et quand je vois ce Mobile Suit, ton mobile suit, le seul mot qui me vient est aussi de cette langue… Il veut dire « incroyable »… C’est… »
« Adrian Marvelous, Amazing Exia : Paré pour l’élimination des cibles ! »
petite musique 01
Quand il arriva sur la cible il fut immédiatement accueilli par un escadron complet de Mobile Suits qui firent feu de tout bois ! Adrian, parfaitement concentré dans son Exia, esquiva certains tirs, se protégea d’autre. Deux tentèrent de l’embrocher avec des lances en arrivant dans son dos, mais Adrian se retourna tout en passant sa GN Blade en mode lame et les trancha en deux avant de continuer sa rotation et de lancer les trois dagues GN de son bouclier dans trois MS plus loin.
« MAIS C’EST QUI CE TYPE !? »
Le Exia repassa sa lame en mode pistolet et tira une salve sur l’entrepôt servant de camp de base, la structure explosa immédiatement, révélant un bunker sous-terrain.
« Comme ils me l’avaient dit…. »
D’une des deux sorties latérale de cette structure sortit un nouveau MS, mais visiblement plus spécialisé et surement puissant que les autres : Blanc et doré, un GN drive lâchant derrière lui une gerbe de particule rouge, un visage doré et une lame en main, il se dirigea vers l’Exia. Les autres lui laissèrent le passage en prenant leur distance. Adrian laissa tomber son bouclier et quand il fut à porté il dégaina son épée Brincle, sans pour autant l’activer. Le MS blanc lança un coup de pied qu’Adrian para avec sa GN blade replié, le général de la cité tira ensuite une salve que son adversaire évita. Mais pour autant Adrian ne semblait pas inquiet. Quand le MS blanc revint à la charge Adrian para à nouveau de son épée, mais cette fois :
« Enflamme-toi !!!!!! »
Le feu de l’enfer surgit de son épée entamant la lame de son adversaire et le déstabilisant, l’Exia profita de se moment d’inattention pour le trancher en deux de cette lame enflammée, enflammée comme l’âme de celui en tenant le manche. Les portes du hangar s’ouvrirent.
petite musique 2
Une immense masse de métal doré en surgit. Quel était cette créature diabolique ? Son nouvel opposant ? Mais comment pouvait-on affronter pareil machine ?
![Une histoire d'honneur [PV Adrian] 300px-Gnma-xcvii](https://2img.net/h/img4.wikia.nocookie.net/__cb20110211033641/gundam/images/thumb/5/50/Gnma-xcvii.jpg/300px-Gnma-xcvii.jpg)
« ADRIAN MARVELOUS ! NOUS SAVONS QUE C’EST TOI ! CHIEN DES KUCHIKI ! NE TRAHI PAS AINSI TON PEUPLE ET JOINS TOI A NOUS !
-Adrian nous pouvons révolutionner la Cité ! Nous pouvons apporter la paix à notre peuple !
-Dépose les armes ! Pour ceux qui souffrent de la guerre ! »
L’Exia lentement descendit vers le sol. Il se posa, sa tête se leva vers le monstre d’or.
« Vous vous imaginez capable de sauver le monde ?
-Oui.
-Capable d’apporter la paix ?
-Oui !
-Capable de sauver notre peuple, de sauver l’humanité ?
-OUI !
-Et bien dans ce cas, vous vous prenez pour Dieu… et dans ce monde, dieu n’existe pas… Vous êtes donc le diable… un démon que je vais pourfendre avec mon Exia !
-Fou ! Penses-tu vraiment vaincre notre Alvatore ?!
Ils activèrent le GN field de la machine et dégainèrent ses pinces.
-Ce n’est pas une question de pouvoir, mais de devoir… et je n’ai pas le temps de mourir ici, j’ai bien trop de chose à m’occuper…. »
Il tira un salve sans effet avec son pistolet GN. Salve à laquelle ils répondirent par une volé de missiles. Adrian activa sa mitrailleuse GN se trouvant sur son bras gauche et son pistolet GN pour tacher de tous les détruire, puis vola en direction de la machine doré et lui donna un violent coup de son épée Brincle qui fut immédiatement repoussé !
-Tu n’es qu’un faible humain comme les autres, que comptes-tu faire face à nous ?!
petite musique 3
-Tss… Je suis… (ore wa…)
Il arma sa GN Blade.
-JE SUIS… ! (ORE WA !!!!)
Il lança son bras vers le champ de force :
-Adrian Marvelous !!! (ADRIAN MARVELOUS DA !!!!!!!) »
La GN Blade perça le GN Field et l’Amazing Exia parvint à trancher une des pinces. La stupeur gagna les trois hommes à bord de leur mobile armor.
« Im… IMPOSSSIBLE !!!
-Transformer l’impossible en possible… »
Il trancha la seconde pince.
« VOILA LE POUVOIR D’UN SUPER PILOTE !!!!! »
Puis il trancha l’arrière de la machine en deux, détruisant de fait les GN Drive… Cependant ce n’était pas fini, l’un deux s’échappa grâce à une MS d’appoint… Mais Adrian avait déjà fondu sur lui et lui lança un grand coup de pied l’amenant au sol, il se releva, mais Adrian éjecta sa GN Blade pour saisir de ses deux mains les deux dagues dans son dos et les lui lancer dans les avant bras, avant de récupérer l’épée Brincle et de trancher les Machine de trois coups en Z…
Il reçu une dernière communication venant de l’Alvatore :
« Pour… pourquoi te bats-tu ? pour le prince ?
-Je me bats pour le prince Byakuya, pour Patrick, pour mes amis, mes collègues, mes concitoyens… pour tous ceux ayant le désire de vivre librement… Voilà tout… »
La mission était enfin finie, les traitres avaient payé leurs méfaits de leur sang et de leur vie… cela rendait Adrian un brin triste de voir que finalement, cette mission avait était celle du choc de plusieurs volonté de plusieurs destinée… Il savait qu’il en resterait marqué à vie…
« Rentrons, Exia. »
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