-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Damon Albarn

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité


Anonymous

MessageSujet: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime25/7/2015, 17:33


ALBARN — Damon

Damon Albarn 1437830324-deco-prez

Nom : Albarn.
Prénom : Damon.

Date de naissance : 8 Mai.
Age au début du RP (Juin 253) : 34 ans.

Groupe sanguin : B.
Type d'Humain : Humain.
Lieu de naissance : Capitale.
Métier : Ingénieur en mécanique.

Lien de parenté avec d'autres personnages : Une femme et une fille, ayant toutes deux compté parmi les pertes civiles d'une précédente bataille avec la Cité. Il parle souvent de refaire sa vie, et a même une fois fini sa nuit en cellule de dégrisement pour avoir déclaré sous l'emprise de l'alcool vouloir « aller voir dans le camp d'en face si les pépettes sont bien roulées ».
Il porte néanmoins toujours son alliance - même s'il prétend que c'est parce qu'il n'arrive plus à l'enlever -, et la photo de famille qu'il emporte dans son portefeuille partout où il va tient du secret de polichinelle. Entre ça et ses bonnes relations avec l'armée, on le relâcha à l'aube sans qu'il ne soit gardé trace de ce dossier (sinon dans une éventuelle rubrique « bêtisier »).

Lien social avec d'autres personnages : On verra ça plus tard !

Couleur des yeux : Noisettes.
Couleur de peau : Blanche.
Couleur des cheveux : Noir.
Signes distinctifs : Porte des lunettes. Bien que celle-ci ne semble pas lui être indispensable, il se déplace toujours avec une canne (et une clé de douze dans la poche arrière, quand ce n'est pas toute la boite à outil). Pratiquement considéré comme une mascotte au sein de l'armée, il en connait une bonne partie et entretient avec la plupart d'excellents rapports. Aussi, vous pouvez être presque sûr de le voir engager la conversation dès qu'il croise un soldat à un coin de rue, allant de l'échange de banalités aux anecdotes plus personnelles.

Histoire :

D'origine vulgaire, Damon a vu le jour en tant que fils d'agriculteurs. Certains disent que c'est grâce à ça qu'il est aussi amical aujourd'hui, ayant appris dès la naissance le goût de la modestie ; ceux qui le connaissent un peu plus s'accordent à dire que ça n'a rien à voir. Toujours est-il qu'en matière de goût, celui de la terre ne lui disait trop rien. Il n'attendit donc que d'avoir l'âge légal pour troquer la salopette contre un bel uniforme. Cela ne créa pas pour autant de schisme entre lui et ses parents ; ceux-ci avaient remarqué très tôt qu'il était trop épris de justice et de patriotisme que pour passer sa vie dans les champs.

En effet, le petit Damon n'aspirait à rien d'autre qu'à servir sa patrie. Oh, ce n'était pas tant par haine de l'Empire ; peut-être parce qu'il avait grandi à l'écart du coeur de la Capitale - et des autres enfants -, il ne voyait pas de raison particulière de lui en vouloir. Non, pour lui, tout ce qui importait était de faire honneur à sa nation. D'en élever les couleurs, le drapeau aussi haut qu'il le pourrait et d'enfin mettre un terme à cette foutue guerre qui, déjà alors, durait depuis bien trop longtemps. De faire ce qui était juste. Et le moins que l'on puisse dire était qu'il mit du coeur à l'ouvrage.

Son intention n'avait jamais été de se faire remarquer, ni même de s'attirer la moindre gloire personnelle. Cela ne l'empêcha pas d'être très vite sous les feux des projecteurs. Bien qu'il ne fasse pas l'unanimité parmi les instructeurs pour son petit côté excentrique, tous s'accordaient à dire qu'il faisait preuve d'une dévotion admirable. On avait beau lui reprocher de manquer de sérieux, cela ne s'appliquait qu'en dehors des exercices. Dès qu'il mettait les pieds sur le parcours, il était de ceux qui s'acquittaient non seulement de l'entraînement prévu au départ, mais avaient aussi tendance à en faire davantage.

Là encore, la question n'était pas d'attirer sur lui tous les regards. Il n'avait jamais aimé attirer sur lui toute l'attention, même si son tempérament parfois déconcertant aurait pu pousser à penser le contraire. Non, c'était plutôt qu'il voulait être sûr d'être prêt quand enfin viendrait le moment de marcher sur l'ennemi. Il avait beau déjà posséder une certaine force physique du fait du travail à la ferme, ce serait loin de suffire en combat réel. Quand viendrait le grand jour, il devrait être prêt. Tant d'autres avant lui avaient donné leur vie sans réussir à changer quoi que ce soit... Il ne serait pas de ceux-là.

Ses premières missions se déroulèrent admirablement bien. Le temps passé à la caserne qu'il ne mettait pas à profit pour s'entraîner, il le dépensait à se rapprocher de ses petits camarades. À cette initiative de sa part, ils tissèrent tous ensemble ou presque de solides lien d'amitié qui ne les rendait que plus efficaces sur le terrain, et que les autres bataillons devaient bientôt en venir à leur envier. Bien sûr, cela ne rendait aussi chaque perte que plus douloureuse... Mais il s'efforça de ne jamais se laisser abattre.
Même si tous y mettaient du leur pour que cette entente reste au beau fixe, tous étaient d'avis que cela n'aurait été possible sans lui et son éternelle bonne humeur. Qu'il était à la fois le ciment et l'âme de leur compagnie. Il ne pouvait pas les décevoir, n'est-ce pas ? C'est à cette époque qu'il commença à monter en grade. C'est aussi là qu'il rencontra la femme de sa vie.

Suite à une opération s'étant particulièrement bien déroulée (bien qu'ayant hélas coûté la vie à deux de ses hommes - il dirigeait désormais son régiment), il demanda quelques jours de permission, pour s'en remettre, qui lui furent bien sûr accordés. Ce n'était que la deuxième ou troisième qu'il prenait en plusieurs années de service, et encore, il avait fallu l'y forcer. Leur rencontre fut on ne peut plus banale, vraiment. Habitué à manger tous ses repas sur le compte de l'armée, il sélectionna une boulangerie au hasard quand il lui fallut aller faire les courses pour lui seul, et elle se trouvait derrière le comptoir. Elle s'appelait Maria.

Il fallut encore quelques mois avant qu'ils sortent ensemble, puis se marient. Elle était déjà enceinte à ce moment-là, aussi cela était-il préférable pour le respect des bonnes mœurs. Elle devint son rayon de soleil dans un monde qui commençait à devenir un peu trop sombre à son goût. Ils eurent une petite fille, Léa, dont il était plus fou encore qu'il ne l'était de sa femme si c'était seulement possible. Tous ceux ayant servi sous ses ordres se rappelleront toute leur vie combien il les avait bassinés avec ses histoires de famille - bien qu'ils fussent tous heureux de le voir si épanoui. Même si ça impliquait de se faire réveiller à deux heures du matin parce qu'il voulait leur montrer une photo qu'il avait retrouvée sous son lit.

Dans le même temps, il reçut de nouveaux galons, et avec eux le grade de capitaine. On lui attribua le surnom de « Tornade Noire » - ce qui ne manqua pas de faire rire ses hommes qui, bien qu'aux premières loges pour témoigner de son efficacité, le voyaient mal porter un titre aussi effroyable. Lui-même en fut quelque peu déconcerté, mais finit par l'accepter - c'était une preuve de respect, après tout. Pragmatique, réfléchi et doté d'un sens tactique n'étant plus à prouver, c'était certainement l'un des officiers les plus en vue à cette époque. Ce qui est sans doute la raison pour laquelle on lui proposa de grimper à bord d'un Mobile Suit pour mieux défendre son étendard.

Il hésita longuement avant d'accepter. Ce nouveau statut ne lui permettrait plus d'entraîner les nouvelles recrues - tâche à laquelle il prenait grand plaisir, endossant le rôle de vétéran avec humour tandis que la bleusaille aimait à dire que ça les changeait des vieux grincheux. C'était aussi plus dangereux ; même si ces engins avaient été découverts depuis un moment déjà, on était encore loin de tout connaître à leur sujet. Néanmoins, pour en avoir déjà vu certains évoluer sur le champ de bataille, fauchant impitoyablement les troupes d'infanteries comme d'immenses bourreaux de métal, il ne pouvait nier une chose : on était plus en sécurité à l'intérieur.

Peut-être qu'il était passé le temps d'être un simple soldat. Peut-être qu'il était temps pour lui de s'ouvrir de nouvelles perspectives. Oh, ce n'était pas qu'il ait peur pour sa vie : il pensait avant tout à sa petite famille. Que viendrait-on leur dire, s'il se faisait cribler de balles par l'un de ces géants futuristes, ou transpercer par un sabre laser ? Apprendre qu'une partie de ceux avec qui il avait fait ses premières armes s'étaient vu proposer une offre similaire acheva de sceller sa décision. Ainsi reçut-il de la part des hautes sphères son propre bout de métal, et put-il livrer bataille à un autre niveau.

Les premiers essais révélèrent très vite qu'il n'était pas spécialement doué pour ça, même s'il n'avait pas non plus de quoi rougir. Cela ne l'empêcha pas de vouer une sincère fascination pour ces bécanes sitôt passées les premières heures de vol. Au cours de ses années de service, il avait eu l'occasion d'essayer toutes sortes d'équipement militaires, des plus désuets aux plus ingénieux en passant par les plus farfelus ; mais aucun ne s'approchait de ceux-là de près ou de loin. C'était à des années-lumières (et il ne croyait pas si bien dire) de ce qu'ils pouvaient faire, et il ne demandait qu'à en apprendre plus à leur sujet. Malheureusement, les connaissances manquaient... Bah ! Il apprendrait sur le terrain. La théorie lui avait moins réussi que la pratique.

Tout ne se passa pas comme prévu. Il eut une bataille, et il la perdit. Oh, ce n'était pas une première : dans le bras de fer titanesque auquel se livraient la Cité et la Capitale depuis plus de cent ans déjà, c'était à tour de rôle. Seulement, cela n'avait jamais été si spectaculaire. Même si sa vie en dépendait, il serait bien incapable de raconter dans les détails comment ça s'était déroulé. Tout ce qu'il en sait, c'est qu'une arme est venue visiter son cockpit, et avec lui une partie de ses entrailles. Touché à la jambe et à l'abdomen, il émergea quelques jours plus tard dans un lit d'hôpital, miraculé.

Entouré de sa femme et sa fille, on lui expliqua qu'il avait la chance d'avoir des amis fidèles : ses compères étaient revenus les chercher sous le feu ennemi, lui et sa machine (ou ce qu'il en restait). La plupart l'auraient considéré comme perdu, et à raison. La joie fut cependant de courte durée : les tests qu'on effectua sur lui trahirent une perte substantielle de mobilité. Bien que cela ne soit pas gênant dans la vie de tous les jours, ils ne pouvaient en aucun cas lui permettre de redevenir soldat - avec ou sans mecha. Même s'il le cacha bien, la nouvelle fut un coup dur pour lui, qui avait passé presque toute sa vie à défendre son chez lui. Par bonheur, il lui restait l'essentiel : la vie de famille qu'il s'était bâtie.

Pléiade de camarades - subordonnés, partenaires et autres rivaux - furent eux aussi touchés par cette nouvelle, et lui garantirent qu'il serait toujours le bienvenu au QG avec la bénédiction des grands manitous. Gratitude qu'il ne fut pas s'en apprécier, mais il souhaiter préférer pour quelques temps la vie civile à laquelle il venait d'être rendu plutôt que la vie militaire. Au moins le temps que la plaie cicatrise, au propre comme au figuré. Il n'était pas si mal loti : lui qui se plaignait constamment de ne pouvoir être plus souvent avec « ses deux déesses » - selon ses propres termes - était servi. Néanmoins, il est une amertume qui ne disparut jamais vraiment : celle que ce soit déjà terminé.

Même s'il avait passé des heures à se faire la main dessus en entraînement, il se sentait incomplet lorsqu'il repensait à son appareil - désormais bon pour la casse ; la lame avait taillé en pièce des systèmes cruciaux à son bon fonctionnement. Il avait toutefois obtenu qu'on le lui laisse « en souvenir » après l'avoir vidé des dernières pièces encore en état de marche - il ne devait pas y avoir plus que de quoi remplir un caddie. Ainsi lui arriva-t-il souvent de passer des heures à le contempler sans trop savoir pourquoi dans le hangar en déshérence où on lui avait déposé le colis. Ils auraient pu faire tant de choses tout les deux, et voilà ce qu'il en restait : un éclopé et un tas de boulons.

Puis un jour lui vint l'idée saugrenue de regarder à l'intérieur. Oh, il n'y connaissait pas grand chose, sinon quelques rudiments que l'on inculquait pour leur propre bien à tous les pilotes - plus deux ou trois tuyaux glanés auprès des mécaniciens à quelque partie de poker du samedi soir. Il ne risquait pas de s'y retrouver... Mais ça l'intriguait. À son grand étonnement, ça lui parlait plus qu'il ne l'aurait pensé dans un premier temps. Ça lui rappelait l'époque où il bricolait le tracteur quand celui-ci n'arrivait plus à démarrer. Non pas qu'il s'attende à entendre vrombir le moteur de l'engin en jouant avec les câbles, mais qu'avait-il à y perdre ? Et puis, il avait du temps à tuer.

Lui percevait peut-être toujours un dédommagement de la part de l'armée, mais sa conjointe, elle, continuait à travailler d'arrache-pied - et il n'était pas rare que leur petite fille l'y accompagne. Ce qui ne manquait d'ailleurs jamais de le faire réagir à chaque fois qu'on en parlait, feignant de mal prendre ce favoritisme de sa part. Une chose en entraînant une autre, c'est ainsi qu'il finit par entrer de plein pied dans le monde merveilleux de la mécanique. Toute salissante qu'elle soit, c'était une saine activité : pour lui qui avait été si dynamique, toujours en mouvement, l'inactivité de la retraite forcée serait tôt ou tard devenue un fléau.

C'est aussi ce qui l'amena à retourner voir ses vieux compagnons, recueillant conseils et recommandations à chaque passage. Dans la mesure où il leur repayait en liqueurs ces cours du soir improvisés, ils ne virent pas de raison de lui refuser. Réintroduit dans le milieu, il en profita pour lui-même dispenser quelques leçons supplémentaires aux nouveaux arrivants. Il ne faisait peut-être plus officiellement parti de l'armée, mais n'en restait pas moins qu'il en avait été un membre émérite - ce qui lui conférait toujours une certaine « aura » auprès des plus jeunes. De fil en aiguille, il finit par vouloir assister aux « vraies » réparations, puis fourra le nez dedans de lui-même quand il estima en savoir assez pour se le permettre.

Bien qu'il n'ait jamais poursuivi de grandes études, le père de famille adopta le rôle d'un élève studieux, avide d'apprendre. Il rêvait du jour où ces machines n'auraient plus aucun secret pour lui - où il pourrait remettre sur pieds en claquant des doigts même une épave comme celle qu'on lui avait laissé. Son ancien Mobile Suit - depuis lors baptisé « Rusty » - demeurait en attendant un excellent cobaye pour toutes sortes d'expérimentations plus ou moins suspectes, quoiqu'il en prit grand soin -il était déjà assez mal en point. La fréquence des affrontements faisait que les mécaniciens agréés n'avaient que peu la liberté de parfaire leurs connaissances, leurs journées étant accaparées systématiquement par l'un ou l'autre petit bobo d'une machine ou d'une autre.

Contrairement à son époque où celles-ci étaient encore rares, les robots géants de toutes sortes semblaient à présent proliférer - même si ce n'en était toujours pas assez, selon les hautes instances -, ce qui ne rendait la tâche que plus difficile. Ils finirent donc par voir un soulagement plutôt qu'autre chose dans cette lubie qu'il avait de venir leur filer un coup de main de temps en temps... Même s'il ne manquait pas de leur infliger pour la énième fois un échantillon plus ou moins conséquent de son album de famille. Les années passant, ils eurent de moins en moins à lui apprendre, jusqu'à ce qu'il égale leur niveau - puis le dépasse.

Ayant fini par se faire prendre la main dans le sac, il avait été forcé de régulariser sa situation auprès de l'armée, mais cela n'entraîna guère de complication : la plupart étaient simplement contents de le voir revenir, fut-ce dans un rôle bien différent. Au-delà de sa curiosité pour ces choses venues de l'espace (il ne manquait pas d'histoires à dormir debout sur le sujet), c'était aussi sa réponse à la tentative de la vie pour le mettre sur le banc de touche. Il ne pouvait peut-être plus bondir comme un lapin dans les tranchées, mais avait encore les moyens de se rendre utile... En coulisse, cette fois. Et ça lui allait très bien comme ça.

Malheureusement, tout n'était pas rose : le conflit continuait de faire rage et, pire encore, de prendre de l'ampleur. Si l'on pouvait s'étonner que des combats d'une telle intensité semblent ne pas faire d'autres victimes que leurs participants, ce n'était pas toujours le cas. Sa femme et sa fille en furent les malheureuses victimes, dommages collatéraux dans l'assaut d'un Mobile Suit inconnu au large des murs de la Capitale. Nul n'aurait pensé que leur visite aux grands-parents maternels de la petite dans leur patelin connaîtrait une fin aussi tragique. Et dire que s'il n'avait pas eu un projet à finir ce jour-là, il aurait dû être du voyage...
Avec elles, son monde s'effondrait ; aujourd'hui encore, il se sent coupable de s'être trouvé bien à l'abri dans les hangars quand c'est arrivé. Néanmoins, nombreux furent ceux à s'étonner de la rapidité à laquelle il fit son deuil - du moins en apparence. Quand il se remit au travail, ce fut avec une ardeur redoublée. Une volonté de fer - celle d'en finir une bonne fois pour toute avec cette guerre, et de la gagner.

Impressionné par son coeur à l'ouvrage, on lui confia des projets de plus en plus important, jusqu'à lui permettre de s'attaquer à la création-même de ces géants de métal. Tout en sachant que l'un d'eux était probablement responsable de la perte de ses êtres chers, il ne démordait pas d'en devenir un expert - car quel meilleur moyen de les combattre ? Même si cela ne fut pas aussi concluant qu'il aurait pu espérer, c'est ainsi qu'on le chargea de mettre au point un nouvel appareil pour le Chevalier Full Frontal, avec d'autres éminents spécialistes du genre. Malgré une satisfaction discutable (due entre autres au fait d'avoir dû en faire un patchwork plutôt que de l'assembler pièce par pièce), cela lui confirma au moins une chose : celle qu'il avait acquis assez de talent pour jouer dans la cour des grands.

Origine de l'image de votre personnage: Maes Hughes - Fullmetal Alchemist.


Dernière édition par Damon Albarn le 25/8/2015, 03:14, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité


Anonymous

MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime25/7/2015, 17:37

Voilà, je pense avoir terminé. Excusez-moi pour la longueur.

Les différentes batailles que je mentionne dans mon histoire sont bien évidemment fictives au sens où elles ne figurent pas dans la trame du forum, ce pourquoi ça peut sembler aussi flou en terme de chronologie. Également, puisque c'est arrivé lors d'un précédent Event que des combats aient lieu juste au-dessus de la ville (même si c'était à la Cité), j'ai supposé que ce n'était pas la première fois (surtout depuis le temps que ça dure) ; n'hésitez pas à me corriger si ce n'est pas le cas.

En vous remerciant par avance et en vous souhaitant une bonne lecture.
Revenir en haut Aller en bas
Maître du Jeu
P.N.J.


PNJ
Très élevée

Réputation : 1522

Maître du Jeu

MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime27/7/2015, 17:34

Re-bienvenue sur le forum!

- Histoire de chercher la petite bête: paragraphe 2, il nous semble que tu as noté "Cité" au lieu de "Capitale".

- Nous te corrigeons en effet pour la fin, la Cité n'a jamais attaqué la Capitale directement par le passé, tout comme la Capitale n'avait pas attaqué directement la Cité avant de lui lancer un vaisseau, il faudra donc modifier tes deux derniers paragraphes. Wink

Bon courage!
Revenir en haut Aller en bas
Invité


Anonymous

MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime27/7/2015, 18:35

Merci de votre passage !

En fait j'avais écrit cité (le nom commun quoi) et mon traitement de texte a rajouté la majuscule tout seul comme un grand, mais c'est vrai que ça prête à confusion. J'ai modifié par Capitale, du coup.

Pour le second point, j'ai du coup situé ça à proximités d'un des villages agricoles censés entourer la Capitale, et donc un peu plus à découvert. Je ne sais cependant pas si vous considérez qu'ils sont assez éloignés pour permettre à une escarmouche d'y prendre place. Si ça ne va toujours pas, je mettrai ça sur le compte des machines inconnues qui ont attaqué au début de la trame.
Revenir en haut Aller en bas
Maître du Jeu
P.N.J.


PNJ
Très élevée

Réputation : 1522

Maître du Jeu

MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime1/8/2015, 18:34

Like a Star @ heaven En effet, le terme cité utilisé sur le forum peut vite prêter à confusion.

Like a Star @ heaven Les villages ne sont hélas pas assez éloignés pour permettre à une escarmouche d'y prendre place (ou alors il faudrait que ce soit vraiment très très récent, moins d'un mois, et cela ne correspondrait pas avec la création du Sinanju).

Il faudrait donc te rabattre sur une attaque de MA, eux, leur première apparition et assaut sur la Capitale datent de Mars 253 (étant donné que nous sommes courant Juin 253 actuellement en RP, cela correspondrait déjà plus).

Wink
Revenir en haut Aller en bas
Ikari Shinji
Membre lvl 7


R -Sujet
R - Caporal
Potentiel Newtype

15 XP
Basique

Réputation : 284

Ikari Shinji

MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime1/8/2015, 23:07

Après réflexion, ça ne convient pas vraiment : je souhaiterais ancrer ça un peu plus loin dans le passé pour éviter que le deuil soit trop récent (pas envie de commencer le personnage en mode dépressif). N'y a-t-il pas d'événement plus ancien (une année ou plus) qui aurait occasionné des pertes civiles ?
Revenir en haut Aller en bas
Maître du Jeu
P.N.J.


PNJ
Très élevée

Réputation : 1522

Maître du Jeu

MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime13/8/2015, 12:07

Désolé pour l'attente, nous avons un peu de mal à nous réunir en ce moment.

Nous y avons réfléchi et nous voyons plusieurs possibilités:
- un bête virus / une maladie qui les auraient emportés
- une attaque de sauvage, sur un village extérieur de la Capitale c'est possible
- ou, si tu souhaites vraiment une attaque de MS, un assaut par un individu de Scydonia (bien évidemment à l'époque le MS n'aurait pas pu être identifié, tu n'aurais que le témoignage peu fiable et peu détaillé d'un éventuel survivant)

Wink
Revenir en haut Aller en bas
Invité


Anonymous

MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime25/8/2015, 03:16

Bonsoir,

Merci pour votre réponse, et désolé encore pour le dérangement ! J'opte donc pour la troisième option et ai édité en ce sens.
Je me permets également de demander une deuxième barre dans ma compétence physique car même si ça date, le personnage a tout de même été soldat pendant un long moment et pas en bas de l'échelle.

En vous remerciant par avance !
Revenir en haut Aller en bas
Maître du Jeu
P.N.J.


PNJ
Très élevée

Réputation : 1522

Maître du Jeu

MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime8/9/2015, 22:07

Le Staff s'excuse pour cette réponse fort tardive, mais ta présentation est validée !

Bon jeu ! Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
Invité


Anonymous

MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime9/9/2015, 03:43

Merci bien !

Je me permets par contre d'insister pour le deuxième niveau de capacité physique demandé plus haut !
Revenir en haut Aller en bas
Maître du Jeu
P.N.J.


PNJ
Très élevée

Réputation : 1522

Maître du Jeu

MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime10/9/2015, 21:04

Merci du rappel Damon, c'était un simple oubli. Wink
C'est réglé !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


MessageSujet: Re: Damon Albarn   Damon Albarn I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Damon Albarn

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Code Valdam :: Le forum :: Personnages :: Anciennes présentations-